L'esprit de l'individu est contraint par la société à laquelle il appartient.
La société donne des codes à penser pour les individus. Elle enferme ceux-ci dans des cases et contraint les membres de cette société à enfermer dans ces casses les individus par eux-mêmes, par le simple principe que les membres font partit de la société. Car faire partit d'une société commune c'est avant tout utilisé la même nomenclature afin de classer, et classer les individus dans leur rapport même à la société est l'activité fondamentale des individus en so
Celui-ci s'intellectualise, c'est sa manière d'être au monde à présent, c'est surtout sa manière de s'en détourner en fait. Son refuge c'est le savoir. Il le maitrise ou en tout cas aimerait le croire. Il en fait sa facilité, son petit bonheur, son domaine de compétence, sa chasse gardée, sa définition personnelle.
Il réfléchit. Sur quoi ? Soit sur son rapport à la corporalité, et donc son rapport aux gens et au monde, ce qu'il avait d'emblée rejeté dans les prémisses de la définition de sa cachette (quelle ironie !) ; soit sur son rapport à l'inte
Bien que je considère que mes faits et gestes ne me définissent pas, bien que je considère que je ne suis pas toujours le même, bien que je considère que mes paroles ne sont pas capables de définir complètement ma pensée ; à autrui, je nie toutes mes considérations. Je le juge avec une simplicité étonnante.
Je n'ai conscience que de son paraître.
Un paraître qui ne peut être que tel quel. Un paraître qui couvre tout entier un être.
Une couverture de mystère dont je m'enrobe également pour les autres.
Un paraître qui n'est pas moi pensais-je
Le temps possèdent plusieurs modalités, soit il est présent, c'est-a-dire actuel, soit il ne l'est pas, il est donc aparonique, c'est-a-dire qu'il peut être passé ou futur, non-actuel.
De l'état d'être ou de conscience dépend chacun de son rapport à ces deux types de temporalité.
En effet, l'être est au présent alors que la conscience est au passé ou au futur.
L'être humain se vit projetait dans un continuum temporel.
Ainsi, il se voit lui-même au passé ou dans l'avenir. Dans un déjà vécu ou dans un encore possible. C'est son état de consci
La nuit suspend le temps.
Mon esprit entreprend.
Prêt à tomber sous l'égide de Morphée s'égrainent en moi les mots et les images qui n'attendaient pour surgir que les froideurs nocturnes. Le temps de la lune étant favorable à la pensée suave et lancinante que n'offre pas celui du soleil qui recherche les idées courtes et sucrées.
C'est le moment du repos corporel mais aussi de l'embrasement de l'esprit.
S'écrit alors le roman de minuit.
L'imaginaire est à son paroxysme, sur le point de rentrer dans le monde des rêves dans quelques minutes. Mais il reste encore ces instants
Qui suis-je ?
Voila une question que se pose tout le monde à un moment ou à un autre dans nos sociétés exacerbant l'individualisme et la distinction personnelle face au groupe et dans le groupe.
Les réponses à cette question ont pour le moins étaient multiples.
Sans prétention vis-à-vis de sa valeur par rapport aux autres, voici la mienne, qui présente simplement la recherche de ce qu'il y a en soi comme veine. En d'autres termes, je ne réponds pas, moi non plus, à la question mais j'interpelle quant à l'intérêt même de la question.
Je suis l'unité d'un c
L'individu est forcement imparfait, puisqu'individuel.
En effet, chercher à être parfait voudrait dire chercher à être infini car seul l'infini n'a pas de limite et donc capable de tout car, par définition, rien n'est hors de l'infini. Et l'infini n'a pas besoin d'autre chose que de lui-même pour exister. Or, l'individu est bel et bien fini dans les limites de l'espace de son corps.
Dans cette optique, il faut accepter de ne pas être parfait et admettre qu'il n'est pas possible de l'être. Car le problème de la recherche de la perfection est un problème très actuel. Il est en cela la n
Les sentiments sont des phénomènes crées dans notre intériorité et qui nous transforme tant qu'on les laisse vivre.
Nous sommes en cela nos sentiments.
Et en acceptant d'être nos sentiments, nous vivons le changement perpétuel de nous-mêmes. Nous nous vivons en tant qu'expérimentateur de situations et non en tant qu'objet dénué d'affects.
Les sentiments vécus, compris et acceptés nous rendent mobile dans notre être. Car à l'inverse, les gens fixes sont des personnes totalement rigides avec leurs sentiments, ils les rejettent ou les dénigrent.
Et à travers
D'un côté l'action, de l'autre le penser. Deux modes différents d'aborder la vie. Une sorte d'opposition classique entre le corps et l'esprit. On attribue en effet l'agir au corps et le penser à l'esprit.
L'agir c'est appréhender la réalité telle qu'elle est.
Le penser c'est détourner la réalité ; par exemple c'est trouver des possibilités à l'avenir, c'est justifier le passé, c'est remettre l'action présente à un autre moment.
Le penser n'est-il pas négation à l'agir plutôt que son prélude.
Le corps et sa « volonté » son bien tro
La Nature est infinie et, par conséquent, une infinité de chose est la Nature.
Admettre faire partie de la Nature induit en être une part au même titre que chaque autre chose de la Nature.
L'idée de vivre parmi les choses réelles et naturelles induit de dépendre de la Nature. Mais c'est aussi l'affirmation renouvelée que l'on fait partit de la Nature. Ce qui est extérieur à nous n'est pas contre nous.
Il faut prôner l'amour de la réalité, donc l'amour des choses qui existent en tant simplement qu'elles existent. Aimer la vie et aimer vivre parmi la vie.
A côté, les
L'esprit de l'individu est contraint par la société à laquelle il appartient.
La société donne des codes à penser pour les individus. Elle enferme ceux-ci dans des cases et contraint les membres de cette société à enfermer dans ces casses les individus par eux-mêmes, par le simple principe que les membres font partit de la société. Car faire partit d'une société commune c'est avant tout utilisé la même nomenclature afin de classer, et classer les individus dans leur rapport même à la société est l'activité fondamentale des individus en so
Celui-ci s'intellectualise, c'est sa manière d'être au monde à présent, c'est surtout sa manière de s'en détourner en fait. Son refuge c'est le savoir. Il le maitrise ou en tout cas aimerait le croire. Il en fait sa facilité, son petit bonheur, son domaine de compétence, sa chasse gardée, sa définition personnelle.
Il réfléchit. Sur quoi ? Soit sur son rapport à la corporalité, et donc son rapport aux gens et au monde, ce qu'il avait d'emblée rejeté dans les prémisses de la définition de sa cachette (quelle ironie !) ; soit sur son rapport à l'inte
Le temps possèdent plusieurs modalités, soit il est présent, c'est-a-dire actuel, soit il ne l'est pas, il est donc aparonique, c'est-a-dire qu'il peut être passé ou futur, non-actuel.
De l'état d'être ou de conscience dépend chacun de son rapport à ces deux types de temporalité.
En effet, l'être est au présent alors que la conscience est au passé ou au futur.
L'être humain se vit projetait dans un continuum temporel.
Ainsi, il se voit lui-même au passé ou dans l'avenir. Dans un déjà vécu ou dans un encore possible. C'est son état de consci
La nuit suspend le temps.
Mon esprit entreprend.
Prêt à tomber sous l'égide de Morphée s'égrainent en moi les mots et les images qui n'attendaient pour surgir que les froideurs nocturnes. Le temps de la lune étant favorable à la pensée suave et lancinante que n'offre pas celui du soleil qui recherche les idées courtes et sucrées.
C'est le moment du repos corporel mais aussi de l'embrasement de l'esprit.
S'écrit alors le roman de minuit.
L'imaginaire est à son paroxysme, sur le point de rentrer dans le monde des rêves dans quelques minutes. Mais il reste encore ces instants
L'individu est forcement imparfait, puisqu'individuel.
En effet, chercher à être parfait voudrait dire chercher à être infini car seul l'infini n'a pas de limite et donc capable de tout car, par définition, rien n'est hors de l'infini. Et l'infini n'a pas besoin d'autre chose que de lui-même pour exister. Or, l'individu est bel et bien fini dans les limites de l'espace de son corps.
Dans cette optique, il faut accepter de ne pas être parfait et admettre qu'il n'est pas possible de l'être. Car le problème de la recherche de la perfection est un problème très actuel. Il est en cela la n
Les sentiments sont des phénomènes crées dans notre intériorité et qui nous transforme tant qu'on les laisse vivre.
Nous sommes en cela nos sentiments.
Et en acceptant d'être nos sentiments, nous vivons le changement perpétuel de nous-mêmes. Nous nous vivons en tant qu'expérimentateur de situations et non en tant qu'objet dénué d'affects.
Les sentiments vécus, compris et acceptés nous rendent mobile dans notre être. Car à l'inverse, les gens fixes sont des personnes totalement rigides avec leurs sentiments, ils les rejettent ou les dénigrent.
Et à travers
D'un côté l'action, de l'autre le penser. Deux modes différents d'aborder la vie. Une sorte d'opposition classique entre le corps et l'esprit. On attribue en effet l'agir au corps et le penser à l'esprit.
L'agir c'est appréhender la réalité telle qu'elle est.
Le penser c'est détourner la réalité ; par exemple c'est trouver des possibilités à l'avenir, c'est justifier le passé, c'est remettre l'action présente à un autre moment.
Le penser n'est-il pas négation à l'agir plutôt que son prélude.
Le corps et sa « volonté » son bien tro
Tout entier de son soi, un jour se délivrer.
Ne plus rentrer chez moi, quitter l'identité.
Face à ce doux choix, comment perdre mes clés ?
Je veux suivre ta voix, en me laissant guider.
Et peu importe vers quoi, je moffre à dériver.
Façonner à tes doigts, ta créativité.
Sublimera tu crois, un être à dépasser ?
Didées que tu moctrois, modèle à compléter.
Toujours tu me renvois, aux faits de limparfait.
Constant avec émois, je souhaite me mixer.
A un je-ne-sais-quoi, pouvant me libérer.
Faire de moi hors-la-loi, de t
Ton cur qui bât
Et qui séprend
Il veut se dévoiler
Sil nest pas tourmenté
Ton cur qui croit
Et qui sétend
Il souhaite sépanouir
Omettant lavenir
Ton cur qui voit
Et qui tapprend
Des gestes qui rassurent
Ne voulant pas conclure.
L'esprit de l'individu est contraint par la société à laquelle il appartient.
La société donne des codes à penser pour les individus. Elle enferme ceux-ci dans des cases et contraint les membres de cette société à enfermer dans ces casses les individus par eux-mêmes, par le simple principe que les membres font partit de la société. Car faire partit d'une société commune c'est avant tout utilisé la même nomenclature afin de classer, et classer les individus dans leur rapport même à la société est l'activité fondamentale des individus en so
Le temps possèdent plusieurs modalités, soit il est présent, c'est-a-dire actuel, soit il ne l'est pas, il est donc aparonique, c'est-a-dire qu'il peut être passé ou futur, non-actuel.
De l'état d'être ou de conscience dépend chacun de son rapport à ces deux types de temporalité.
En effet, l'être est au présent alors que la conscience est au passé ou au futur.
L'être humain se vit projetait dans un continuum temporel.
Ainsi, il se voit lui-même au passé ou dans l'avenir. Dans un déjà vécu ou dans un encore possible. C'est son état de consci
Qui suis-je ?
Voila une question que se pose tout le monde à un moment ou à un autre dans nos sociétés exacerbant l'individualisme et la distinction personnelle face au groupe et dans le groupe.
Les réponses à cette question ont pour le moins étaient multiples.
Sans prétention vis-à-vis de sa valeur par rapport aux autres, voici la mienne, qui présente simplement la recherche de ce qu'il y a en soi comme veine. En d'autres termes, je ne réponds pas, moi non plus, à la question mais j'interpelle quant à l'intérêt même de la question.
Je suis l'unité d'un c
Les sentiments sont des phénomènes crées dans notre intériorité et qui nous transforme tant qu'on les laisse vivre.
Nous sommes en cela nos sentiments.
Et en acceptant d'être nos sentiments, nous vivons le changement perpétuel de nous-mêmes. Nous nous vivons en tant qu'expérimentateur de situations et non en tant qu'objet dénué d'affects.
Les sentiments vécus, compris et acceptés nous rendent mobile dans notre être. Car à l'inverse, les gens fixes sont des personnes totalement rigides avec leurs sentiments, ils les rejettent ou les dénigrent.
Et à travers
On est soi qu'à travers l'autre.
On est soi qu'en désirant l'altérité, qu'en s'y confrontant.
On est soi qu'en cherchant ce que l'on pense être l'amour ou la haine de l'autre, qui n'est qu'en fait que l'image de soi renvoyer par l'autre et le sentiment d'amour ou de haine de soi-même au travers de l'autre.
Etre soi c'est se désirer, positivement.
Le désir négatif de soi nous renvoi plutôt vers l'idée de ce que l'on n'est pas, vers un désir positif de changement de soi.
Par le désir, on s'actualise régulièrement de soi vers soi.
Et le désir est induit par l'i
La Nature est infinie et, par conséquent, une infinité de chose est la Nature.
Admettre faire partie de la Nature induit en être une part au même titre que chaque autre chose de la Nature.
L'idée de vivre parmi les choses réelles et naturelles induit de dépendre de la Nature. Mais c'est aussi l'affirmation renouvelée que l'on fait partit de la Nature. Ce qui est extérieur à nous n'est pas contre nous.
Il faut prôner l'amour de la réalité, donc l'amour des choses qui existent en tant simplement qu'elles existent. Aimer la vie et aimer vivre parmi la vie.
A côté, les
Aller chercher laltérité en lautre, pour partager, pour construire une relation, pour sapporter mutuellement des originalités, pour se changer soi de son soi.
Cest une reconnaissance de lautre en tant quil nest pas soi, mais également une reconnaissance de soi en tant quon nest pas lautre, cest important. Double bénéfice. Autant cet autre me « complète » par son altérité, autant jai forcement des originalités qui font que je peux « compléter » lautre.
Cest une multiplication des conta
D'un côté l'action, de l'autre le penser. Deux modes différents d'aborder la vie. Une sorte d'opposition classique entre le corps et l'esprit. On attribue en effet l'agir au corps et le penser à l'esprit.
L'agir c'est appréhender la réalité telle qu'elle est.
Le penser c'est détourner la réalité ; par exemple c'est trouver des possibilités à l'avenir, c'est justifier le passé, c'est remettre l'action présente à un autre moment.
Le penser n'est-il pas négation à l'agir plutôt que son prélude.
Le corps et sa « volonté » son bien tro
L'amour c'est comme une cuillère et un café
On tourne d'abord autour du pot
On mélange amertume et sucré
On y dissous nos égos
et on en reverse à côté.